Portrait de Alice Darbinian

Portrait de Alice Darbinian

« Mon choix s’est porté sur Naïas Formation car j’y ai trouvé un accueil très professionnel, un programme riche et complet, une exigence de qualité de livrable, des professeurs experts dans leurs domaines et une Direction très humaine et disponible. »

 

« La remise à niveau de mes compétences en digital par une formation certifiante, les expertises concrètes acquises, […] ont joué un rôle majeur et m’ont clairement fait sortir du lot par rapport les autres candidats. »

 

Portrait d’Alice Darbinian

Alice, une jeune femme au goût prononcé pour l’action, a elle aussi fait un grand saut dans le vide…

Voici le récit de son histoire.

Découverte d’un monde différent…

Nous sommes en 2000, année où un fameux bug aurait dû mettre à mal tous les réseaux informatiques de la planète. Il n’en a heureusement rien été. Alice, arrive seule d’Erevan (en Arménie) et s’installe à Paris pour reprendre des études à la Sorbonne Paris IV. Elle complète un cursus linguistique et littéraire de 5 années acquis dans son pays, par une licence en Langues Étrangères Appliquées puis une maîtrise en Commerce et Affaires Internationales en France.

« En France, le système éducatif est assez différent de celui de mon pays, et mes débuts à la Sorbonne ont été difficiles et m’ont demandé un travail sans relâche et une volonté de fer pour valider mes diplômes.»

Sans sa détermination, son amour pour la France, sans sa ténacité, sa volonté et son énergie à toute épreuve, tout ça n’aurait probablement pas été possible.

Une chose est certaine aujourd’hui. Tout ça en valait vraiment la peine.

Du commerce au digital

Elle débute sa carrière comme Assistante Commerciale dans une start-up des Télécoms dont la croissance lui permettra une ascension professionnelle importante ; jusqu’à des responsabilités en Marketing et Communication.

« Dans de petites entreprises, il faut savoir être polyvalent et agile. C’est ainsi que pendant 7 années, j’ai diversifié mes compétences en marketing, communication, vente, encadrement d’équipes, et notamment piloté le lancement de l’offre mobile MVNO* Orange (pour des appels vers l’étranger) en 2009. À l’époque, c’était tout à fait nouveau, donc j’avais déjà un pied dans la Tech et l’innovation. »

Une de ses expériences les plus marquantes est celle qu’elle a eue au sein d’un holding pharmaceutique, GSA Healthcare, en raison de la diversité du champ des missions et de la transversalité des projets. Les projets d’envergure visant l’optimisation de l’organisation et de la communication représentent autant de nouvelles opportunités, de challenges et de nouveaux apprentissages.

Elle apprécie les défis qui lui sont confiés : pilotage de l’optimisation du système informatique (migration de la messagerie, semi-externalisation des serveurs et sauvegardes, agendas partagés), implémentation des outils de collaboration, accompagnement des métiers en transformation (visiteurs médicaux vers des attachés à la promotion du médicament et délégués pharmaceutiques), QTV, valorisation des projets, etc.

In fine, les résultats obtenus sont très bons (une satisfaction des collaborateurs en matière de qualité d’information, d’image et de notoriété de l’entreprise redynamisée en interne comme en externe) et gratifiés par la Direction.

Elle élabore et déploie également la stratégie de communication interne, externe et digitale, et supervise notamment un des projets qui consiste à engager tous les collaborateurs pour en faire de véritables ambassadeurs et portes paroles de l’entreprise sur les réseaux sociaux.

Le challenge est majeur puisqu’il concerne toutes les strates de l’organisation. Les résistances sont importantes… Mais l’approche très pédagogique et la patiente détermination d’Alice conduiront à une adhésion record de 80 % des collaborateurs.

Le changement a assurément été bien accompagné.

« J’ai adoré mon expérience dans cette entreprise, en particulier les projets de transformation et d’accompagnement à l’acculturation au numérique des collaborateurs. Aussi, le soutien de la direction pour ce type de projet est essentiel à sa réussite. [GSA est une entreprise avec de belles valeurs, la direction est engagée dans une démarche permanente d’amélioration continue de l’organisation et de la communication; j’ai rarement vu des dirigeants aussi humains, aussi soucieux de leurs collaborateurs…]. Toutes les transformations doivent absolument être expliquées et accompagnées, c’est la clé de la réussite.»

L’heure de la transformation

Après la transformation des systèmes, des process et l’accompagnement réussi des collaborateurs, Alice ressent le besoin d’initier sa propre transformation professionnelle.

Après une première tentative entrepreneuriale, un séjour en Angleterre, elle décide de compléter et de mettre à jour ses compétences en digital. Pour ce faire, elle choisit le chemin de la formation, et particulièrement le parcours certifiant intensif chez Naïas Formation.

« Mon choix s’est porté sur Naïas Formation, car j’y ai trouvé un accueil très professionnel, un programme riche et complet, une exigence de qualité de livrable, des professeurs experts dans leurs domaines et une Direction très humaine et disponible. »

Le rythme est intense, le contenu technique, les moments de doutes aussi, mais grâce à sa détermination et après des semaines de travail acharné, elle termine très fière et certifiée en Marketing Digital. Elle sait qu’elle est maintenant capable de délivrer une stratégie marketing digitale de A à Z.

C’est un vrai bond en avant.

« La remise à niveau de mes compétences en digital par une formation certifiante, les expertises concrètes acquises, la remise en cause volontaire à ce stade de ma carrière ont joué un rôle majeur et m’ont clairement fait sortir du lot par rapport aux autres candidats ».

Depuis bientôt 4 ans, elle s’épanouit comme Directrice Marketing et Communication dans le secteur de l’E-santé et plus précisément chez le pionnier de la santé connectée en France (depuis 2014), BewellConnect®, membre de la French Tech et ambassadeur de la Healthtech.

Elle contribue ainsi quotidiennement à répondre à la problématique de l’accès aux soins en France grâce à la promotion des solutions de santé innovantes et connectées, notamment de télémédecine, et continue à accompagner l’acculturation au numérique des professionnels de santé et la transformation digitale des organisations dans le secteur de la santé…

Elle se rappelle avoir déjà eu à définir et à plancher sur un sujet IoT (Internet of Things) lors d’une session de travail chez Naïas. Session qui l’avait particulièrement interpellée d’ailleurs.

Hasard ou plutôt évidence ?

* « Mobile Virtual Network Operator, opérateurs qui ne disposant pas de leur propre réseau radio et qui, pour offrir des services de communications mobiles à leurs abonnés s’appuient sur les services d’un ou plusieurs opérateurs de réseau mobile…» Source ARCERP

Auteure du portrait : Valérie Lévy

Portrait Vanessa Rouvin

Avec Naïas, j’ai intégré la compétence digitale à mon jeu de cartes professionnelles! Ajoutée à ma dimension commerciale, j’ai maintenant tous les outils pour développer le business de mes clients!

Le travail à fournir est conséquent mais c’est pour la bonne cause…

Aujourd’hui, j’ai rencontré un papillon qui soulève des montagnes.

Vanessa, 43 ans, met depuis plus de 20 ans son énergie – elle n’en manque pas, son expertise, sa créativité au profit de ses clients.

Son parcours

Attachée de presse à ses débuts, poussée par un fort engagement clients, elle s’oriente rapidement vers des responsabilités marketing et commerciales. Pour mener à bien cette mission, elle embarque des équipes tout aussi passionnées et volontaires qu’elle. Ses collaborateurs constituent une famille à part entière qui, orchestrée avec intelligence et bienveillance, transforment les journées de travail en défis passionnants.

Elle aime profondément animer le collectif, en faire émerger le meilleur. Ses équipes le lui rendent bien d’ailleurs.

Maman de 2 enfants, la quarantaine…vient logiquement le temps d’une certaine nécessité de prendre de la hauteur. Elle a beaucoup donné, sans compter. Le temps d’un bilan est arrivé. Il est nécessaire de considérer la boussole de son parcours professionnel.

Son arrivée au digital…

En 2018, elle fait son entrée dans le digital et par la porte la plus improbable, la plus ardue, le growth hacking, en intégrant une formation Growth Acceleration. Comme ça… parce qu’elle est résolument curieuse et qu’elle recherche constamment de nouveaux défis à relever. Entourée des plus geeks, elle prend tout ce qu’elle peut, consciente qu’elle passe à côté de nombreuses subtilités. C’est une vraie découverte. Elle vient de mettre le doigt dans de nouvelles pratiques qui éveillent chez elle l’envie d’aller plus loin. Elle ne saurait en rester là mais a conscience qu’elle doit repartir des fondamentaux.

Naïas, une parenthèse intense

Fin 2018, elle repère une formation en stratégie et marketing digital certifiante, Naïas formation : On y forme des salariés en reconversion, des hommes et des femmes à mi-parcours professionnel en quête d’une valorisation de leurs acquis. Des plus jeunes aussi qui souhaitent consolider de premières expériences.

Un enseignement théorique et pratique, de la création d’un site au référencement sur les moteurs de recherche, du mobile marketing à l’e-mailing, du display aux outils d’analyse… Un programme complet et un véritable tremplin pour une carrière. C’est très précisément ce que recherche Vanessa.

La formation commence dans moins de 15 jours. Rien n’est gagné. On n’intègre pas le cursus comme ça ! Une sélection est de rigueur. Elle se remonte les manches, enfonce toutes les portes pour être de la prochaine promotion. Elle obtient un entretien avec Cindy Dorkenoo, fondatrice de l’école et experte reconnue du web, monte son dossier de financement rapidement, malgré les contraintes et délais administratifs, candidate… et rejoint enfin 20 autres co-stagiaires qui embarquent pour l’aventure et constitueront une vraie nouvelle famille pour les prochaines semaines et plus encore.

Il n’est pas question de relâcher les efforts pour la suite. Ça n’est d’ailleurs pas une option. Le programme est complet et dense. Le travail à fournir est conséquent mais c’est pour la bonne cause ; une consolidation des connaissances, un nouvel acquis de compétences digitales pour les profils marketing plus traditionnels.

C’est grâce à un programme riche et concret, un collectif à toute épreuve, une solidarité sans limite et un travail assidu que Vanessa acquiert les connaissances requises. Elle finit même majore de sa promo.

Ses projets

Elle a aussi acquis une certitude. Sa qualité de vie primera à l’avenir. De belles opportunités comme salariée lui sont depuis régulièrement proposées qu’elle refuse pourtant. Elle veut construire son avenir professionnel à sa manière, redonner aux autres une partie de ce qu’elle a reçue, servir ses clients en toute indépendance et liberté.

Forte de son bagage solide acquis chez Naïas, elle s’entoure d’une équipe de freelances experts dans leur domaine et orchestre les ressources en fonction des besoins clients. Ses contacts réseau lui demandent conseils pour optimiser leur présence en ligne, développer leur business, mais également les former aux bonnes pratiques digitales.

En parallèle, elle s’est lancé un nouveau défi : Transmettre à son tour, en devenant une des 100 ambassadrices en France du programme #SheMeansBusiness lancé par Facebook. Aussi, le 26 novembre prochain, un an après son entrée dans le digital, elle réunira 100 femmes dans l’incubateur de la Chambre de Commerce de Paris Ile-de-France, Incuba’school, pour les former au leadership, au digital et l’entrepreneuriat…

Peut-être seront-elles de prochaines chrysalides ?

Auteure du portrait : Valérie Lévy

Portrait de Nadège Lombardo Ianni

« Aujourd’hui, je sais monter une boîte et aussi la couler mais je n’ai plus peur. Je sais qu’il y a un “après”. […] j’ai parallèlement monté MyEasyCode, une plateforme d’apprentissage au code de la route »

« J’ai pu appliquer tous les enseignements dès le début de la formation. J’ai aussi eu l’opportunité de prendre MyEasyCode comme cas d’études et ainsi faire d’une pierre deux coups. »

Berlioz, Stendhal, Champollion et… Nadège

Nadège, 36 ans, a démarré sa carrière à 18 ans en alternance d’un BTS Force de vente à… Grenoble.

Tout juste diplômée, elle rejoindra, un peu par hasard, le Centre Universitaire Hospitalier local où elle occupera un poste au service Achats pendant un peu plus de 5 années mais où elle finira par s’ennuyer quelque peu et par partir.

La douce ascension…

Revient alors l’alternance, le besoin d’apprendre de nouvelles choses, de se renforcer, de compléter ses compétences.

Elle découvre alors le marketing à 25 ans d’abord en formation puis en occupant un poste dans un tout nouveau secteur pour elle, le transport collectif.

« Et puis, un jour, on m’a proposé un nouveau challenge, celui de remplir des cars »

Sa mission, redresser la ligne budgétaire déficitaire de l’activité navettes aéroportuaires.

Elle y fait ses premières expériences digitales en douceur ; une page Facebook, quelques publications sur les réseaux sociaux. Tout ça est encore bien timide jusqu’à une dernière initiative : la vente en ligne de billets, le e-commerce donc.

« Mais à nouveau, j’ai fait le tour de la question. Je commençais à m’ennuyer, à me sentir étriquée ».

Première de cordée…

Elle connaît une véritable ascension en décidant de rejoindre l’entreprise familiale où elle découvre la gestion d’entreprise, la gestion des ressources humaines et y prendre vraiment goût. L’entreprise passe rapidement de 3 à 15 personnes.

L’expérience est très belle jusqu’à l’entrée en vigueur de nouvelles réglementations qui conduiront l’activité à sa liquidation malheureusement.

« Aujourd’hui, je sais monter une boîte et aussi la couler mais je n’ai plus peur. Je sais qu’il y a un “après”. D’ailleurs, j’ai parallèlement monté MyEasyCode, une plateforme d’apprentissage au code de la route ».

C’est à cette période qu’elle fait une recherche en ligne pour une formation en marketing digital. Elle en veut une qui soit courte, complète, certifiante et financée. Rien que ça…

Elle repère Naïas très vite sur www.moncompteactivite.gouv.fr qu’elle peut financer avec son compte personnel de formation, mieux connu sous le sigle CPF. C’est la seule qui réponde à ses critères à l’époque, et semble-t-il, encore aujourd’hui. Et puis, c’est le coup de cœur quand elle croise le chemin de la fondatrice de l’école, Cindy Dorkenoo.

« J’avais devant moi, une passionnée, quelqu’un très à l’écoute et qui maîtrisait tellement son sujet. »

Nous sommes en septembre 2017. La prochaine promotion démarre en octobre à Paris. La formation n’est pas encore déployée au niveau national comme c’est maintenant le cas mais peu importe. Elle s’installe temporairement à Paris.

L’ascension commence. Pas à pas.

  • Premier module : octobre 2017
  • Second : décembre 2017
  • Quatre derniers modules en avril 2018

« J’ai pu appliquer tous les enseignements dès le début de la formation. J’ai aussi eu l’opportunité de prendre MyEasyCode comme cas d’études et ainsi faire d’une pierre deux coups.

Les supports pédagogiques étant partagés sur un drive et disponibles à vie, je reprends et réutilise régulièrement les supports de cours, les outils qui ont été mis à notre disposition. Ils me sont réellement toujours très utiles.

Mes deux conseils aux prochains stagiaires Naïas :

  1. Prendre des notes consciencieusement en continu,
  2. Faire une liste, au fur et à mesure, de toutes les choses à mettre en place, modifier, optimiser dans son entreprise ou celle choisie en début de parcours. »

Le sommet

L’épanouissement de Nadège est flagrant. Elle a fait le choix de se mettre à son compte définitivement. Lancée en juin 2019 en freelance, elle a dû laisser sa propre plateforme de côté. Elle ne trouve plus le temps de s’y consacrer pleinement et fondamentalement.

« C’est l’explosion totale depuis la formation. En une semaine, en août, j’ai conclu 3 beaux contrats »

Elle souhaite faire ce qu’elle aime le plus maintenant : aider les entreprises à mettre en place leur propre stratégie marketing digital, les aider à se faire connaître, à se développer, à se transformer. Elle redistribue aussi ce qu’elle a appris puisqu’à son tour, elle dispense des formations à des étudiants, des salariés et des dirigeants et qu’elle ne semble pas vouloir s’arrêter là.

Il semble évident qu’elle n’en est qu’au début. Maintenant équipée du bon bagage, elle gravira encore bien d’autres sommets à l’avenir.

Auteure du portrait : Valérie Lévy

Portait de Quentin Boully

« La notion de projet, de mise en application concrète sur un cas réel, a été moteur de mon envie d’entrer dans le grand bain. Et je n’ai pas été déçu. »

« …C’est notre capacité à faire des choix réfléchis et justifiés qui est aussi mis à l’épreuve. »

Portrait de Quentin Boully

Quentin, 30 ans, lyonnais, diplômé d’une école de commerce, m’a parlé de Joséphine Baker, d’ONG et de développement durable.

Et le digital dans tout ça ?

Ses deux amours à l’origine : le développement durable et le digital.

Je devrais dire le digital et le développement durable d’ailleurs puisqu’à 16 ans, il fait ses premières armes dans l’informatique. Il code à ses heures perdues, pour le plaisir.

Son bac ES en poche, il intègre un cursus en école de commerce et une spécialisation en Développement Durable, son autre centre d’intérêt.

Sa quête professionnelle…

Il découvre le digital en ONG. L’organisation pour laquelle il travaille cartographie, sur mobile, des zones d’actions pour une cause écologique.

Sur les réseaux sociaux, Quentin anime sa communauté de volontaires engagés et travaille à la refonte du site internet.

Il tente aussi l’aventure entrepreneuriale avec deux associés. Ils proposent une prestation d’édition de sites internet pendant quelque temps.

En Angleterre, il travaille en agence où il fait ses armes en édition de contenus divers. Il y découvre le référencement naturel et la problématique Adwords.

La transition…via la certification

A 30 ans, autodidacte, vient maintenant le temps pour Quentin d’asseoir certaines compétences et de compléter sa palette d’expertises digitales. Il se met en recherche active de La formation idéale.

A quoi t’attendais tu avant d’intégrer la formation ? Quelles étaient tes attentes ?  

« Je cherchais LA formation qui me convienne, à la fois théorique et pratique dans laquelle je pouvais m’épanouir professionnellement et c’est ce que j’ai trouvé à travers l’échange avec Cindy. »

L’intégration n’est pas qu’une simple formalité. Il sent qu’il doit vraiment justifier de son choix, postuler. Une grosse motivation est requise ce qu’il comprend aisément. La sienne est grande. Il est prêt à quitter sa région pour intégrer la toute prochaine promotion, à Paris, deux mois plus tard.

Il rejoint alors un groupe très hétéroclite. Ses co-stagiaires de certification digitale, une vingtaine de personnes, sont hôtesse de l’air, en création d’entreprise, viennent du secteur de la mode ou du secteur public, ont entre 22 et 50 ans…

Encore une fois, durant la formation, il est insatiable et en profite pour conforter un maximum d’apprentissages jusque-là effleurés.

Comment imaginais-tu ces 6 semaines de formation et quel est ton vécu effectif/ton expérience effective ?  

« La notion de projet, de mise en application concrète sur un cas réel, a été moteur de mon envie d’entrer dans le grand bain. Et je n’ai pas été déçu. J’ai pu, en parallèle des nouvelles notions que j’assimilais, mettre en application mes connaissances sur le cas concret que je développais. 

Au–delà, des intervenants de qualité et des connaissances théoriques, l’entraide entre les stagiaires, l’échange de connaissances et d’expertise issues de nos milieux respectifs ont permis à chacun de grandir et de développer nos projets respectifs. Les projets sont multiples et uniques mais on n’est jamais seul dessus »

Que dirais tu de ce parcours ? Quels conseils donnerais-tu à de futurs participants ? 

« L’oral de fin de formation est un objectif et surtout un résultat valorisant car on repart en ayant une vision de nos points forts et faibles pour notre avenir professionnel dans le digital. Si j’avais un conseil pour les nouvelles promotions, choisir un projet qui passionne, qui donne envie de prendre des risques : un projet d’entreprise perso ou juste un projet sur une entreprise qui suscite notre intérêt, ce qui était mon cas. Sans oublier que chaque dossier est unique, au–delà de l’évaluation des connaissances théoriques, c’est notre capacité à faire des choix réfléchis et justifiés qui est aussi mis à l’épreuve. » 

Jusqu’à l’accomplissement…

A sa sortie, il trouve rapidement une première mission en start-up. On lui confie l’acquisition de leads et le développement du chiffre d’affaires. L’impératif d’un développement et d’une rentabilité express laissent moins la place à une réflexion stratégique d’acquisition moyen/long terme et à la mise en place d’actions réfléchies et efficaces.  

Ise met alors en quête de la mission de ses rêves. Il voit bien la différence depuis la formation. De nombreux recruteurs, entreprises et cabinets, le contactent spontanément dorénavant. 

Sur Shaprun réseau professionnel, on lui parle d’un poste de Traffic Manager qui s’ouvre prochainement. C’est précisément ce qu’il recherche. 

Un mois plus tard, il déménage en Lorraine et rejoint la holding Premista, acteur majeur de l’intermédiation bancaire ; 500 personnes en national, activités ; le regroupement de crédits, le courtage immobilier et l’assurance, 8 collaborateurs totalement dédiés au marketing digital et opérationnel. 

Son travail consiste à identifier les bons leviers d’acquisition et les meilleurs fournisseurs de leads qualifiés (acteurs de l’affiliation, agences…). On parle de plusieurs centaines de milliers de leads par an qui sont autant de ressources absolues pour alimenter les forces commerciales du groupe et donc pour développer les différentes activités. 

Lui incombe aussi l’analyse des données, des indicateurs de performance, l’optimisation des outils, la gestion des différents budgets qui lui sont confiés. Bref, la mission est riche, large et challengeante à souhait. 

8 mois après sa prise de fonction, Quentin reste ravi du choix de sa formation. Il n’a aucun regret.  Il est extrêmement satisfait des responsabilités qu’il occupe aujourd’hui et des perspectives… durables qui s’offrent à lui pour la suite.

Auteure du portrait : Valérie Lévy

Portait de Magali Dessertine

« La formation est également concentrée sur une durée de 6-7 semaines. Cela permet de ne pas perdre de temps lorsque nous avons un projet à mettre en place par la suite. »

« Cette formation nécessite d’être disponible en dehors du temps d’apprentissage pour travailler sur son cas. En effet il y a des travaux à effectuer les soirs et week-end pour avancer sur le cas que nous étudions. »

A l’heure où les petites filles veulent être maîtresses, archéologues ou infirmières, Magali veut devenir journaliste.

Après son bac, elle intègre logiquement l’université de Nancy et y prépare un master Information et Communication (INFOCOM).

Années 2000 : Harnachée d’un sac de reporter, d’un enregistreur, d’un énorme micro, elle part très vite sur le terrain, couvrir les reportages terrain pour Fréquence FAC, une émission de France Bleue Sud Lorraine.

“Mon père était ingénieur en informatique. La maison a toujours été équipée d’un ordinateur de dernière génération. Il m’en a très tôt mis un entre les mains. Mes premiers pas en informatique se sont faits sur un Amstrad avec lecteur de cassettes à bande magnétique ! Et dès 94, nous étions connectés à internet.”

Rappelons-nous. On estime qu’en France, seulement 900 000 foyers utilisent un ordinateur domestique en 1985 ; 270 000 connectés à Internet en 1997 !*

La chronique Internet lui est également rapidement confiée. Elle ne le sait pas à l’époque mais elle suit les traces tout juste empruntées par la fameuse chroniqueuse de France Télévision, Laura du Web. Tout comme elle, elle surfe quotidiennement sur la toile pour y dénicher les plus belles perles et en proposer 3 à ses auditeurs chaque semaine.

Premières immersions

L’occasion lui en étant donnée, elle part un an en Suède poursuivre ses études et améliorer son anglais. Elle y découvrira aussi le marketing. Puis s’en suivent 2 années d’un cursus en MBA, option Marketing intégrant une année de césure à Shanghai où elle effectuera notamment une mission au sein du groupe Carrefour. Cette dernière mission lui donne l’opportunité de découvrir la grande distribution.

Dans le grand bain…

Parce qu’à l’époque, les opportunités de postes en marketing en province, en tous les cas à Nancy, sont quasi inexistantes, elle s’installe à Paris et intègre un poste de Chef de Produit chez Melitta, fabricant et distributeur allemand de petit électro-ménager et accessoires.
“J’ai adoré ce poste très polyvalent, offrant un bon mixte communication et marketing. J’y gérai tout autant produit et communication ; conférences, relation avec la presse, formation des chefs de secteur et des animatrices. C’est aussi à ce poste qu’une collègue me met le pied à l’étrier du e-commerce et du référencement sur les moteurs de recherche. Une vraie découverte. »

Elle rejoint Bosch peu après pour une mission plus orientée e-commerce. Magali est sollicitée pour un travail de fond visant à auditer les différents sites du groupe et en optimiser les performances. Avec l’aide des agences, elle est formée aux pratiques du référencement naturel, à l’UX, à la rédaction de contenus, aux bonnes pratiques parcours clients, à la planification des publications sur les réseaux sociaux.

Un pied de chaque côté

Mais déjà, à plusieurs reprises, l’idée d’entreprendre a germé en elle. Magali, à l’occasion de deux congés maternité, peaufine une première idée, participe à un stage de création d’entreprise, réalise une première étude de marché, rédige son business plan. Son projet : la création d’un restaurant bio pour bébés à Levallois.

Elle re se forme et s’initie aux démarches de l’activité de restauration au sein du réseau féminin d’entrepreneuses qu’elle fréquente maintenant, Action’elles. Le projet est complexe, demande du temps car il nécessite une formation longue en restauration. Elle met donc sa première idée en pause sans abandonner celle d’entreprendre pour autant.

A son retour en entreprise, elle postule une fonction 100 % digitale en interne mais, n’étant pas la plus légitime, ne l’obtient pas. Elle sait pourtant que c’est bien cette voie qu’elle veut prendre.

Tourbillon et alignement

Elle quitte l’entreprise pour mettre son nouveau projet en place. Pour ce faire, elle a besoin de renforcer sa compétence digitale. “Ma nouvelle vie, ce sera le digital. Je me donne 2 ans pour lancer une activité qui me permette de subvenir à mes besoins. Je commence par chercher la formation idoine pour arriver à mes fins et la trouve enfin. Ce sera Naïas. »

L’Aventure Naïas en 4 Questions

1. Quels sont selon toi les deux atouts de la formation ?

“J’ai choisi la certification Naïas car il s’agit d’une formation concrète : on définit une vraie stratégie digitale pour une entreprise existante. Cela sert donc à la fois à l’élève et à l’entreprise qui accepte d’être analysée.

La formation est également concentrée sur une durée de 6-7 semaines. Cela permet de ne pas perdre de temps lorsque nous avons un projet à mettre en place par la suite.”

2. Quelles mises en garde adresserais-tu aux prochains stagiaires ?

“Cette formation nécessite d’être disponible en dehors du temps d’apprentissage pour travailler sur son cas. En effet il y a des travaux à effectuer les soirs et week-end pour avancer sur le cas que nous étudions.

Les cours ne sont pas à la portée de tout le monde. Je dirais qu’il faut au moins 5 ans d’expérience en entreprise pour pouvoir bien comprendre et bénéficier de cet enseignement.”

3. Aurais-tu 3 mots pour qualifier ton expérience chez Naïas ?

« Intense, Enrichissante, Motivante”

4. Ton intervenant préféré ?

“Je garde un très bon souvenir de Bastien (Péan), notre intervenant sur la partie réseaux sociaux et content Marketing. Il a su transmettre sa passion, il a beaucoup d’humour, il s’est vraiment investi. Il est pédagogue et humble. Bref c’est un super intervenant très inspirant ! «

Parée pour la suite

6 semaines plus tard, elle termine première ex aequo de sa promotion. Et quelle fierté aussi, quand à sa sortie d’oral, un membre du jury lui confie qu’elle a acquis toutes les compétences requises pour se lancer, là, dès maintenant !

Bien formée, adossée à un bon réseau, elle enchaîne maintenant de très belles missions depuis plus de 2 ans. Elle ne manque pas de projets. Elle travaille aujourd’hui aussi à développer une offre de formations.

Plus que jamais attentive à garder le cap qu’elle s’est fixé, à appliquer des principes éco-responsables qui lui tiennent à cœur, à développer ses activités librement, elle nous confie avoir trouvé sa place et avoir installé les éléments requis pour une mission à sens pour elle.

La voici, doucement et sûrement, engagée sur un chemin bien durable…

* Sources : Rapport sur « l’état d’informatisation de la France » de l’Agence de l’informatique (ADI) de septembre 1985 et article les Echos de juin 1998

Auteure du portrait : Valérie Lévy

Portait de Louise Fondecave

« J’en voulais vraiment. J’ai donc travaillé très dur. Redémarrer de zéro n’était pas aussi simple que je l’avais imaginé. »

« Le professionnalisme des intervenants, leur véritable connexion au terrain et à l’entreprise ont aussi fini par me rassurer, me porter. »

Louise, Bordelaise, rêve de prendre le large et voyager.

Jeune adulte, elle sait une chose. Elle veut découvrir le monde, apprendre de nouvelles langues, appréhender d’autres pratiques et cultures.

Elle décide alors après son bac de partir à l’étranger et de mettre le cap sur la Nouvelle-Zélande. Elle y passera plusieurs mois.

Par-delà les continents

C’est le début d’un périple qui ne s’arrêtera pas là.

En revenant, elle choisit d’intégrer une Ecole de Commerce qui permet jusqu’à 3 années d’études à l’étranger sur les 5 du cursus complet. Elle part à l’assaut de l’Angleterre et en revient avec un Bachelor International Business de l’Université de Hull.

Elle poursuit son aventure en Inde où elle effectuera un stage d’un an en tant que Chargée Marketing et Commerciale terrain pour une entreprise de fours à bois destinés aux populations les plus pauvres, dans la région de Pondichéry.

A son retour en Europe, elle suit un cursus à Madrid en Espagne et y obtient un Master en Business International. Elle termine par un stage à Paris qui validera un troisième diplôme, un Master en Global Management de Kedge Business School.

La voici armée de nouvelles langues, diplômes et belles expériences terrain.

Elle finit par rejoindre une multinationale Suisse, créateur et fabricant d’arômes et de parfums depuis 120 ans, après ce stage de fin d’études effectué dans le même secteur.

« Mes activités dans le secteur du parfum ont été l’occasion d’appréhender de nouveaux champs d’expertises. J’y appréciais tout particulièrement une certaine mesure créative jusque-là insoupçonnée.

Après 3 années, j’ai toutefois constaté que ce secteur traditionnel ne correspondait plus pleinement à mes attentes marketing. En réalité, je crois que j’avais besoin de nouvelles inspirations après ces 3 années très riches professionnellement »

Prise de hauteur et réalignement

Elle part 7 mois découvrir de nouveaux horizons, le Népal et la Birmanie mais aussi à nouveau l’Inde qu’elle retrouve. A son retour, elle sait qu’elle veut regagner Bordeaux et y vivre. Elle s’interroge un peu plus sur un secteur d’activité et sur un éventuel retour à celui du luxe.

Elle pense un temps aux métiers du code mais la lecture des programmes proposés l’engage finalement à s’orienter vers une formation en Marketing Digital.

L’évidente rencontre

Elle investigue largement, tous azimuts et reçoit l’appel d’un responsable du centre Naïas auprès de laquelle elle avait fait une demande de renseignements. Un long échange s’en suit pour lui présenter un programme sur 6 semaines, l’interroger sur ses souhaits et objectifs.

Face à elle, elle sent quelqu’un de passionné, de convaincant qui lui propose d’échanger avec d’anciens stagiaires du cursus. Les retours sont univoques : Chez Naïas, on ne chôme pas. Il faut véritablement être prêt à beaucoup travailler mais le jeu en vaut la chandelle.

De son côté, elle sait que le travail ne lui fait pas peur. Elle a juste besoin d’apprendre et de trouver un objectif professionnel. Elle a maintenant 30 ans. Elle décide de se lancer et intègre la première promotion ouverte à Bordeaux.

J’ai été enchantée dès le premier jour. J’en voulais vraiment. J’ai donc travaillé très dur. Redémarrer de zéro n’était pas aussi simple que je l’avais imaginé. Le professionnalisme des intervenants, leur véritable connexion au terrain et à l’entreprise ont aussi fini par me rassurer, me porter. »

Louise apprécie d’autant plus l’apprentissage très concret qui est proposé qu’une mission de consulting réelle jalonne le programme théorique. Et puis, elle sait que la formation ouvre droit à convention pour un stage qu’elle a décidé de faire à l’issue du cursus.

Pendant la formation, elle a réalisé qu’en Ecole de Commerce, sortie en 2012, elle n’avait que très peu abordé l’univers du digital. De quoi mettre le doute.

Son expérience Naïas

Déjà bien diplômée, tu ressens pourtant encore le besoin de te former à nouveau. Que recherchais tu de plus ? Que te manquait il ? Qu’as-tu appris que tu n’avais jamais vu ?

Comme je l’ai dit dans l’interview, je n’avais jamais abordé la notion de digital dans mon cursus, et il me semblait essentiel d’avoir cette compétence pour exceller en marketing. Je n’avais jamais étudié aucun module présent dans le cursus puisque je n’avais jamais fait de digital.

Quelle « matière » as-tu préférée et pourquoi ?

J’ai particulièrement apprécié les modules sur le social média, l’UX Design et l’emailing. Ce que j’aime dans le marketing digital c’est la compréhension du parcours client, de ses attentes, ses besoins pour pouvoir mettre en place une stratégie adéquate et créer du lien avec lui. Ça me semble être le pilier du marketing aujourd’hui : placer le consommateur au cœur de la stratégie.

Quel est ton meilleur / pire souvenir de ces 6 semaines ?

Mon meilleur souvenir, c’est la satisfaction de voir son travail accompli lors de la présentation du projet ; le pire, la panique que l’on peut ressentir quand on se rend compte de la charge de travail et du temps qu’il nous reste pour terminer le projet (pression que j’ai pu ressentir parfois lors de la gestion de projets complexes à mener dans un laps de temps très court) …

A l’assaut de nouveaux horizons

La voici donc partie pour un stage de 6 mois. Celui-ci répondra à toutes ses attentes.

Elle est à sa place. Elle découvre de nouvelles pratiques auprès d’un expert – et passionné – de l’emailing. Ironie du sort, son tuteur de stage est également son formateur du module e-mailing pendant la formation Naïas.

Aujourd’hui, elle s’épanouit dans l’accompagnement de grandes marques internationales qui cherchent à répondre aux enjeux du social listening.

« Jusque-là, je me disais que je ne savais pas réellement ce que je voulais faire. Je me dis aujourd’hui que le digital me permet en réalité de me réinventer quotidiennement. »

Souhaitons-lui belles découvertes et bon voyage !

Auteure du portrait : Valérie Lévy

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